mardi 6 mai 2008

EXPOS ETE 2008 EN NORMANDIE

MUSEE DES BEAUX-ARTS DE CAEN
17 mai au 31 août 2008

En perspective,


Giacometti
Rencontre avec 15 artistes contemporains



(Georg Baselitz, Louise Bourgeois, Donald Judd, Alain Kirili, Annette Messager...)

Catalogue avec toutes les œuvres reproduites, 96 pages, Editions Fage, 20 euros - En vente à la librairie du muséeEntrée libre et gratuite, Cabinet des estampes



En 2007, un parc de sculptures a été inauguré au cœur du château de Caen, sous l'égide du musée
des Beaux-Arts. Dans ce contexte, le musée donne une place de choix à la sculpture, en 2008, en consacrant deux expositions à l'œuvre d'Alberto Giacometti, sur la proposition et avec la collaboration de la Fondation Alberto et Annette Giacometti.
En perspective, Giacometti se propose d'explorer un des aspects particuliers de l'œuvre du grand sculpteur : ses rapports avec la contemporanéité, une façon d'exprimer le caractère intemporel et universel du créateur. Autour de thèmes définis par les commissaires scientifiques de l’exposition, Véronique Wiesinger, directrice de la Fondation Giacometti, et Thierry Dufrêne, professeur à l’Université Paris X-Nanterre, les sculptures, peintures, dessins, installations et vidéos de plusieurs grands artistes contemporains entrent en résonance avec une sélection d’œuvres de la Fondation Alberto et Annette Giacometti. Empreintes, mutations, mémoire, objets, fragments, répétition, visions et traversées constituent les thèmes majeurs retenus. Autour d’un ensemble significatif d'œuvres de Giacometti, exceptionnellement prêté par la Fondation Alberto et Annette Giacometti, déployé
dans les vastes salles baignées de lumière du musée des Beaux-Arts, sont présentées des œuvres récentes d’artistes internationalement reconnus comme Georg Baselitz, Michel Blazy, Jean-Pierre Bertrand, Louise Bourgeois, Fischli et Weiss, Antony Gormley, Donald Judd, Alain Kirili, Jannis Kounellis, Annette Messager, Dennis Oppenheim, Gabriel Orozco, Javier Pérez, Sarkis, Emmanuel Saulnier, Joel Shapiro venant de collections publiques et privées.


Catalogue avec toutes les œuvres reproduites et commentées, 330 pages, Editions Fage, 25 euros - En vente à la librairie du musée.Tarifs : 3 et 5 euros - Gratuit pour les moins de 18 ans et pour tous chaque premier dimanche du moi


17 mai au 31 août 2008

Giacometti, Leiris et Iliazd

Portraits gravés

Organisée sur la proposition et avec le concours de la Fondation Alberto et Annette Giacometti, l'exposition rassemble les gravures que Giacometti réalisa pour Vivantes cendres, innommées de Michel Leiris et pour Sentence sans paroles d'Iliazd, deux recueils de poèmes parus en 1961 comptant parmi les plus importantes contributions de l'artiste au livre illustré d'après-guerre.Évoquant la profonde crise traversée par Leiris et sa tentative de suicide en 1957, les gravures de Vivantes cendres, innommées constituent un remarquable témoignage de l'amitié qui lia l'écrivain et l'artiste. Au cours de ses visites régulières à l'appartement du quai des Grands-Augustins, Giacometti dessine son ami convalescent et porte un regard circulaire sur la chambre, s'attardant sur quelques éléments du décor. Conduit par une exigence impérieuse, il multiplie les portraits de Leiris, le montrant alité, de face ou de profil, et grave plusieurs fois un même motif, le plafond esquissé depuis le lit, le chandelier saisi en gros plan ou encore tel meuble vu en contre-plongée. Cinquante-deux eaux-fortes verront ainsi le jour entre 1957 et 1960 dont treize seront retenues pour l'édition, les autres faisant l'objet d'un tirage plus confidentiel.Quand Iliazd, poète, critique et surtout l'un des grands éditeurs d'art du XXe siècle, lui demande de graver le frontispice de son recueil de sonnets Sentence sans paroles, Giacometti, entreprend de même plusieurs approches successives, croquant sur le vif treize portraits différents de l'auteur. N'ayant gardé qu'une image pour l'édition de 1961, Iliazd décide de réunir les autres dans un portfolio, publié l'année suivante sous les titre Les Douze portraits du célèbre Orbandale.La présentation complète des gravures et des plaques de cuivre de ces deux séries méconnues, provenant toutes de la Fondation Alberto et Annette Giacometti, est en soi un événement exceptionnel. Elle sera, après l'exposition récente de la Bibliothèque nationale de France, l'occasion de découvrir Giacometti sous un jour nouveau et d'entrer au cœur de sa création graphique.


DANS LE CADRE DE CETTE EXPOSITION,
ET POUR PREPARER CELLE A VENIR AVEC L'ARTISTE BAS-NORMAND PHILIPPE GODERRIGDE


JE VOUS PROPOSE TROIS VISITES
VENDREDI 8 août
- EXPOSITION GIACOMETTI au MUSEE DE CAEN
-EXPOSITION GODDERIDGE à L'ARTOTHEQUE
- VISITE DE L'ATELIER DE PHILIPPE GODDERIDGE à TORTEVAL
et une SOIREE A CAEN

pour voir :
"Un homme parmi les hommes"


Dans le cadre de Caen soirs d'été, le musée des Beaux-Arts propose une projection en plein air, à 22H 30, sur les pelouses du château, de ce documentaire que Jean-Marie Drot consacre à Giacometti.
Accès libre - pas de réservation

samedi 2 février 2008

"La peau est ce qu'il y a de plus profond"

Expo " la peau est ce qu'il y a de plus profond "





Anéén-Genaaid, de Berlinde De Bruyckere (2002) ; Memoria, de Bill Viola (2000)
( Courtesy Galleria Continua, San Gimignano- Beijing; Hauser & Wirth, Zurich-London ; Courtesy James Cohan gall )




TOUCHES PAR LA PEAU



Des chairs roses de Rubens aux pâtes épaisses de Tàpies, l'épiderme est exposé dans tous les sens et sous toutes les coutures à Valenciennes.


La peau. Thème aussi surprenant qu'inédit pour une exposition d'art contemporain. On pouvait en attendre le pire : quelques curiosités artistico-médicales au goût du jour, sur fond de manipulations génétiques... Rien de tel au musée des Beaux-Arts de Valenciennes, où une centaine d'oeuvres d'artistes contemporains, tels l'Italien Giuseppe Penone, l'Américain Bill Viola, le Belge Jan Fabre ou l'Espagnol Tàpies, cohabitent avec les grands triptyques religieux du XVIIe siècle flamand, les natures mortes hollandaises, ou encore des scènes galantes du XVIIIe siècle français.

Mêler oeuvres contemporaines et collections anciennes n'a rien d'une première. C'est même devenu quasiment une obligation pour la plupart des musées. Presque un poncif. Cette expo mérite pourtant une attention particulière : bien au-delà d'une simple juxtaposition, le visiteur se trouve confronté à un véritable manifeste.

Pourquoi la peau ? Une idée signée Emmanuelle Delapierre, la nouvelle conservatrice du lieu : « La tonalité générale de nos collections d'art ancien est marquée par les chairs abondantes du Flamand Rubens, certes, mais peut-être plus encore par les toiles aux fourmillements moirés du Valenciennois Watteau. Après un XVIIe siècle français rigoriste et cérébral avec des peintres comme Philippe de Champaigne, le siècle des Lumières proposait en effet une approche plus subtile, plus sensible : la touche de peinture devenait apparente. On parlait alors de "caresse du regard". Au XIXe siècle, le sculpteur Carpeaux, autre célébrité de la ville, continua dans cette veine en imprimant à ses plâtres la trace nerveuse de ses doigts. La carnation et l'effleurement comptent ainsi parmi les caractères dominants de notre musée. Il s'agissait, par cette exposition, de les revaloriser. »

Pour donner un titre et une âme à pareille entreprise, une phrase de Paul Valéry fit parfaitement l'affaire : « La peau, c'est ce qu'il y a de plus profond. » La peau comme allégorie des valeurs humanistes. Comme surface de palpitation, d'échange, de connaissance aussi. Exit ici les traitements type tatouage et scarification, jugés trop superficiels.

Parmi les artistes sélectionnés, Giuseppe Penone étire la peau en paysage, Antoni Tàpies l'épaissit comme une pâte à pain prometteuse. En souvenir d'une enfance trouble auprès de parents restaurateurs de tapisseries, Louise Bourgeois, elle, rapetasse et scarifie une tête avec des morceaux de tissus, tandis que le Chinois Huan Zhang inscrit les noms des membres de sa famille sur son visage, jusqu'à disparaître dans l'encre noire au fur et à mesure que celle-ci s'agrandit.

Adeptes des images triviales liées à l'anatomie, les artistes flamands s'ingénient à retourner la peau comme un gant, jusqu'à aboutir au système digestif, motif de prédilection de Patrick Van Caeckenbergh. Quant à Jan Fabre, il imagine une robe en rondelles d'os. Par un renversement vertigineux, c'est alors la charpente qui constitue l'« enveloppe ». Mais c'est avec la main que la peau atteint sa sensibilité maximale. Dans la salle de Carpeaux, l'Américain Robert Morris, les yeux bandés, retrace au doigt les contours de la montagne Sainte-Victoire chère à Cézanne. Suggérant que le toucher tient rôle de regard.

Aucune logique, aucune ligne droite dans ce parcours. Plutôt une approche discontinue, qui s'accorde à merveille avec les accumulations improbables des natures mortes du XVIIe siècle, ces choux nervurés comme des cervelles, ces pelures spiralées des citrons, ces fourrures animales qui frôlent les peaux gluantes des poissons. De manière détournée, en juxtaposant des surfaces diverses, les peintres de l'époque traitaient du drame humain.

De telles confrontations permettent aussi d'établir quantité de correspondances philosophiques. Lorsque l'artiste contemporain Antoni Tàpies affirme que « nous sommes unis à chaque détail, chaque chose, chaque arbre, chaque animal, chaque montagne de la nature », il trouve ici un écho subtil dans les toiles de Rubens : dans les chairs marbrées, le rose indique la présence du sang, tandis que les reflets verts signalent la mort en marche dans chaque corps, des teintes qui parsèment également les paysages et les soieries alentour... Ce grand flux panthéiste sollicite tous les sens et non plus seulement la vue. La métaphore de l'architecte Leon Battista Alberti (1404-1472) selon laquelle le tableau est « une fenêtre ouverte sur le monde » colle mal désormais avec cette peinture tactile, sonore même. Si depuis les Grecs primeur était donnée en Occident au regard - l'homme étant placé dans une situation d'observateur face au monde, donc à l'écart... -, pareille conception ne convient plus à l'art contemporain. Il flirte avec trop de nouvelles disciplines, s'immerge trop fort en elles.

Ainsi, au musée de Valenciennes, l'apologie de la sensation tous azimuts prend valeur de manifeste : elle signe la fin d'un art conceptuel essoufflé, parce que trop cérébral. Le peintre Bruno Carbonnet, qui dans l'exposition s'est emparé du thème de la main et du toucher, le résume par ces mots : « sentir ce qui échappe à la pensée... »

A voir
"La peau est ce qu'il y a de plus profond", jusqu'au 13 mars au musée des Beaux-Arts, bd Watteau, Valenciennes (59). Tous les jours sauf mardi, de 10h à 18h (jeudi jusqu'à 20h). Tél. : 03-27-22-57-20.


Catherine Firmin-Didot

Extrait de Télérama.fr

vendredi 4 janvier 2008

MUSEES DE LA CERAMIQUES EN FRANCE





Installé dans le superbe hôtel d’Hocqueville (XVIIe-XVIIIe siècle), le musée, tout en présentant les plus importants centres faïenciers (Delft, Nevers), est centré sur les splendeurs de la production rouennaise :carreaux de Masséot Abaquesne (XVIe s.), camaïeu bleu de Poterat, décors polychromes et pétillantes chinoiseries de l’époque rocaille, grands services d’apparat et spectaculaires sculptures de faïence.
La collection s’ouvre sur le XIXe siècle et des expositions d’art contemporain lié à la céramique sont régulièrement organisées.


MUSEE MUNICIPAL

Collections Arts décoratifs - Céramique

Conservateur Christine Germain-Donnat

Adresse : 1, rue Fauconou/94, rue Jeanne d’Arc-76000 Rouen

Téléphone 02 35 07 31 74

http://www.rouen-musees.com/




AUTRES MUSEES

Musée national de céramique-Sèvres

www.musee-ceramique-sevres.

Roanne
Limoges
Saint Avit
Art Décoratifs

  • Musée de la céramique méditerranéenne - Saint Quentin La Poterie
  • www.musee-poterie-mediterranee.com

  • Maison de la Faïence - Musée de la Céramique à Desvres
  • www.desvresmuseeum.org

mardi 3 juillet 2007

EXPOS ETE 2007 EN NORMANDIE


EXPOSITIONS A VOIR CET ETE

FECAMP jusqu'au 23 septembre 2007 - Palais Bénédictine

JOAN MIRÓ « Femme et oiseaux»




Cet été 2007 est réservé à un événement tout à fait exceptionnel : plus de cinquante œuvres, spécialement sélectionnées pour l’espace contemporain du Palais Bénédictine, dévoilent le monde fabuleux de Joan Miró.
L’exposition permet de découvrir un autre aspect fécond et original du travail de Miró ; en proposant au visiteur des lithographies, eaux-fortes, huiles sur toile, sur peau de vache, encre sur tissu, des sculptures en bronze et époxy, de la bibliophilie.
Grâce à cette exposition, nous pouvons apprécier la richesse, la variété, la cohérence de ce grand artiste.
INFORMATIONS PRATIQUES
Entrée libre de l’exposition 7 juillet - 2 septembre : 10 h 00 - 18 h 303 septembre - 23 septembre : 10 h 30 - 12 h 30 et 14 h 30 - 18 h 00



ROUEN jusqu'au 26/08/2007 - Musée des Beaux-Arts






Les Mille et une Journées



" miniatures pakistanaises"





Depuis l'ouverture d'un département consacré à la miniature au National College of Art de Lahore, la miniature moghole, en plein essor en Inde au XVIIème siècle, retrouve ses lettres de noblesse. Une génération de femmes formée à cette école s'est imposée depuis les années 90.Elles utilisent la technique du wasli, fabriqué par l'artiste à partir de papier encollé poli, et combinent l'usage de la gouache, de l'aquarelle, de la feuille d'or et d'argent aux techniques du XXème siècle comme l'acrylique et le collage.
Les huit artistes pakistanaises présentent pour la première fois leur art en Europe.



Certaines ont dû s'expatrier pour mener à terme leur démarche artistique, qui traite principalement du contexte historique du sous-continent indien et des tensions qui le traversent : tradition et modernité, statut social de la femme, Orient-Occident.







Exposition ouverte jusqu'au au 26 août 2007, de 10h à 18h - gratuite.



Commissaire de l'exposition, Enrico Mascelloni,



Visites commentées le 26 août à 15h (tarif : 3,80 € + entrée libre)



Gratuit pour les moins de 18 ans et demandeurs d'emploi



Groupes sur rendez-vous.









DEAUVILLE


jusqu'au au dimanche 26 août 2007


C.I.D.




CAMILLE CLAUDEL


Sculptures et témoignages









Si la vie de Camille Claudel n'a été qu'une lutte tourmentée entre ombre et lumière pour assurer sa liberté, nous ne retiendrons aujourd'hui que la lumière incandescente de ses œuvres toutes uniques par leur parfum de sincérité et de spontanéité, l'élégance de la gestuelle de ses figures, la grâce de ses visages aux yeux brûlants et interrogateurs qui scrutent avec effroi le mystère du monde.
Le Centre International Deauville invite tous les amateurs d'art à découvrir une exposition exceptionnelle de plus de 60 œuvres de Camille Claudel.


Les principales sculptures, dessins, fusains et photos, lettres, documents exposés … telles que Les Valses, les Portraits de Rodin ont été rassemblés depuis 40 ans par Reine-Marie Paris, petite-nièce de Camille Claudel.



Informations : 02 31 14 14 14


email@congres-deauville.com
Plein tarif : 9 € - Tarif réduit : 5 €




PONT L'EVEQUE et BEAUMONT EN AUGE Jusqu'au 30 septembre 2007 -




Espace des Dominicaines et Musée Langlois







L'espace culturel et le musée Langlois de Beaumont en Auge proposent cet été une exposition consacrée aux paysages. Ainsi plus de deux cent oeuvres sont présentées dans ces deux lieux pendant trois mois.L'exposition "Paysages" permet de découvrir des oeuvres (peintures, sculptures, gravures, photographies, dessins) du XVe siècle à nos jours par le biais d'artistes tels que Gustave Courbet, Eugène Boudin, Pierre Carron, Leonardo Cremonini, Paul Gauguin, Zao Wou Ki, Marc Mouclier, Pascal Vinardel, Erik Desmazières, Raymond Mason, Camille Pissarro, Alexandre Nozal, Louis Cabat, Piranèse, Sam Szafran, Giacometti, Balthus, Claire Bretecher, René Pétillon, Corot, Zoran Music, Cartier-Bresson et de nombreux autres.Pascal Vinardel, La sortie de la ville, 2007, huile sur toile.Informations pratiques :Horaires en juillet et août :L'espace culturel est ouvert tous les jours de 10h30 à 19h.Le musée Langlois est ouvert du mercredi au dimanche de 15h à 19h.Horaires en septembre :L'espace culturel est ouvert du mercredi au dimanche de 10h30 à 12h30 et de 14h30 à 18h.Le musée Langlois est ouvert du vendredi au dimanche de 15h à 18h.



HONFLEUR jusqu'au jusqu'au 2 septembre - Greniers à Sel

" LA MODE FAIT SON CINEMA "


rend elle aussi hommage à Michel Serrault.
Le public peut désormais y découvrir deux costumes de scènes de l'acteur qui viennent s'ajouter à ceux déjà présentés, dont la fameuse robe de Zaza Napoli, dans la pièce de théâtre...


Entrée gratuite - Tous les jours de 10h à 19h












dimanche 8 octobre 2006

SALON DE LA CERAMIQUE CONTEMPORAINE

Gabrielle BAECILE, artiste céramiste, a participée aux ICONOCLASSES 8, organisé par la Galerie Duchamp d'Yvetot.


Elle exposera dans le cadre du
1er Salon de Céramique contemporaine
DU 12 AU 15 OCTOBRE 2006




Vous pouvez avoir de plus amples renseignements en allant directement sur le site de la MAIRIE de PONT DE L'ARCHE.



BONNE PROMENADE

mardi 26 septembre 2006

250 ans de la MANUFACTURE DE SEVRES

Expo

MANUFACTURE DE SEVRES - 2006




POUR LES CERAMISTES :

La Manufacture de Sèvres fête ses 250 ans d'existence !

A cette occasion, les Editions courtes et longues lui dédient une collection, "Sèvres, une histoire céramique". Le premier volume, "Années 50, l'effet céramique" dévoile les coulisses de la Manufacture dans la décennie d'après guerre : les extraordinaires réalisations malgré la pénurie, la préservation d'un savoir-faire unique... Une exposition homonyme se tiendra jusqu'au 30 novembre à la Manufacture. A Sèvres les célébrations de cet anniversaire sont l'occasion de découvrir l’exposition photographique de Sophie Zénon sur le patrimoine vivant des ateliers de la Manufacture, "La terre transfiguée, 250 ans de porcelaine à Sèvres" jusqu'au 12 novembre au SEL.

A partir de septembre, plusieurs événements accompagnent ces 250 ans de porcelaine à Sèvres.

Infos : www.manufacturedesevres.fr

samedi 29 avril 2006

Léo DELARUE et Dominique DE BEIR

EXPO A LA GALERIE DUCHAMP D'YVETOT

Exposition actuelle "HOSPITALITE" est consacrée aux travaux des plasticiennes Léo Delarue et Dominique De Beir,

sculptures et installations,

du VENDREDI 05 MAIi au SAMEDI 24 JUIN 2006,


Rendez vous pour le Vernissage le vendredi 05 mai à 18h30 à la Galerie.... où nous découvrirons les derniers travaux de ces deux artistes, dont des installations en terre.
( Plus amples renseignements sur le site : www.galerie-duchamp.fr )



Léo Delarue & Dominique debeir seront accueillis à la galerie Duchamp en mai et juin 2006, en partenariat avec l'hôpital d'Yvetot, dans le cadre du programme national " culture à l'hôpital " dont l'objectif est d'inciter, acteurs culturels et responsables d'établissements de santé à construire ensemble, une politique culturelle inscrite dans le projet d'établissement de chaque hôpital.

Pour sa mise en œuvre, les Directions régionales des affaires culturelles (DRAC) et les Agences régionales d'hospitalisation (ARH) sont appelées à se rapprocher et à signer des conventions régionales et les établissements de santé à solliciter les réseaux culturels de proximité.

Cette exposition est en majeure partie le fruit d'une résidence de création qui s'est déroulée d'octobre 2005 à avril 2006 au fil de rendez-vous régulier à l'hôpital d'Yvetot.


Leo DELARUE


Le travail de sculpture de Léo Delarue se tient à la limite de l'abstraction et de l'appréhension de ce qui fait corps : une présence, des formes, une couleur, une peau.


Les formes au début étaient fabriquées avec les matériaux simples de la construction ; elles ont laissé place à des agrégats plus organiques, plus sophistiqués, avec une variété des composants, latex, silicone, résines... et des colorations qui rappellent celles de la peau, rosé, rouge, blanchâtre, orangé, violacé.



Les formes sont tantôt creuses et ouvertes, vides d'un souffle qui tend leur surface ou bien agencement de lignes, tuyaux assemblés en courbes souples ou en torsions.




Le désir de toucher est mis en balance avec un possible recul physique. Attraction-répulsion jouent un rôle qui maintient le spectateur à distance sans pour autant écarter ses sensations."


Dominique DEBEIR







VOIR SITE DE L'ARTISTE : http://www.dominiquedebeir.com/





Coordonnées

Galerie Duchamp
7, rue Percée
76190 Yvetot - France
tél : 02 35 96 36 90
fax : 02 32 70 44 71 (préciser à l’intention de la Galerie Duchamp)
Contact et Direction :David Barbage

SITE A REGARDER REGULIEREMENT : www.galerie-duchamp.fr

Service pédagogique :
Pascale Rompteau
Fabienne Durant-Mortreuil
Ingrid Hochschorner

Chargée de l’accueil des classes :
Fabienne Durant-Mortreuil

Chargée des “iconoclasses” :
Pascale Rompteau