dimanche 26 janvier 2014

WEEK END A LYON

 MUSÉE DES BEAUX-ARTS DE LYON




L’exposition Joseph Cornell et les surréalistes à New York s’intéresse à l’œuvre de l’artiste américain, pionnier du collage, du montage et de l’assemblage, des années 1930 à 1950. 

Voir le Dossier de Presse:sur  le site : 

http://www.mba-lyon.fr/mba/sections/fr/musee-beau-art-lyon/bienvenue-musee-lyon


  MUSÉE DE L'IMPRIMERIE DE  LYON


 

BIENNALE DE LYON

jeudi 5 décembre 2013

week end Parisien



mardi 24 septembre 2013

8ème SALON DE LA CÉRAMIQUE CONTEMPORAIN DE PONT DE L'ARCHE






Voici une invitation et un flyer pour vous convier au
 8ème Salon de la Céramique contemporaine de Pont de l'Arche !
Au plaisir de vous y rencontrer
Marie-Pierre Lamy
Commissaire de l'exposition
06 18 25 57 83

lundi 23 septembre 2013

PHILIPPE SIMON

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Le livre

Les méthodes de lecture de notre enfance
Préface de Philippe DELERM

Éditions de La Martinière
Parution : septembre 2013





Ouvrage grand public, délicieusement teinté de nostalgie, le livre présente trente des méthodes de lecture en usage dans les écoles, entre 1920 et 1980.
Il est illustré de nombreuses reproductions de pages
de ces manuels devenus pour la plupart introuvables.
Parmi ces méthodes, les plus célèbres :
La Journée des tout petits, plus connue sous le nom de Méthode Boscher ; Poucet et son ami ; Daniel et Valérie ; Rémi et Colette ; Am Stram Gram ; La lecture sans larmes


L’auteur

Philippe SIMON

Né à Coutances (Manche), en 1958




Journaliste en charge de l’éducation
à la rédaction générale d’Ouest-France à Rennes ;

Auteur d’une trentaine d’ouvrages documentaires pour enfants,

aux Éditions Fleurus enfants :
L’imagerie du corps humain ; L’imagerie des inventions ;
L’imagerie des camions ; L’imagerie des petits jardiniers ;
La grande imagerie des minéraux

aux Éditions Hachette :
cahiers de devoirs de vacances Hachettes vacances

Instituteur public, de 1977 à 1992

Philippe SIMON – 21 rue de la Sapée – 14112 Biéville-Beuville
Tél. 06 82 40 53 40 – Mail : ph.simon-bouet@orange.fr

jeudi 12 septembre 2013

EXPOSITION GÉRARD TITUS-CARMEL - CENTRE D'ART CONTEMPORAIN DE LA MATMUT


Le centre d'art contemporain

Ouvert depuis décembre 2011, le Centre d’art contemporain de la Matmut à Saint-Pierre-de-Varengeville (Seine-Maritime) est depuis cette date un endroit unique en Normandie, ouvert du mercredi au dimanche de 13h à 19h et dont l’accès est entièrement libre.Les 400 m2 de galerie sont dédiés aux expositions d’art contemporain, tandis que le parc de 6 hectares est consacré à la mise en valeur de sculptures et de végétaux.




Tour d’horizon de ce que les visiteurs peuvent découvrir cet été :

-          L’exposition écarts / tracés de Titus-Carmel (lire ci-joint).
Des visites commentées auront lieu le 21 juillet, 11 et 25 août, 29 septembre à 15h et 8 septembre à 14h et 16h. L’accès se fera sans inscription.

Des ateliers pour enfants auront lieu le 10 août et le 28 septembre, à 14H. L’inscription est obligatoire, en appelant au 02.35.03.43.13.

-          L’installation Metamorphosis de Jérôme Toq’r 
Par ailleurs, des ateliers de création artistique auront lieu, avec l’artiste, les 7 et 8 septembre, de 13H à 19H, sans inscription. Le public participera à un « Moment r’art », avec un clin d’œil à Claude Monet.

-          Les sculptures du parc.
Le Centre d’art contemporain a récemment acquis la sculpture 2M, œuvre de Véra Molnar . Il est également possible de découvrir la sculpture Masque de gorille ), créée par Quentin Garel, impressionnante œuvre de bronze, d’une hauteur de 2,20 mètres.

Le parc de 6 hectares permet en outre de profiter du jardin japonais, de l’arboretum…
Le Centre d’art contemporain est ouvert du mercredi au dimanche, de 13H à 19H. Il est fermé les jours fériés. L’accès est entièrement libre.

CENTRE D’ART CONTEMPORAIN
425 rue du Château
76 480 Saint-Pierre-de-Varengeville
http://www.matmut.fr/le-groupe-matmut/arts-matmut.asp

 Extrait du PARIS NORMANDIE publié le 17-07-2013



Plus d'infos dans le :  DOSSIER DE PRESSE 
 http://www.matmut.fr/le-groupe-Matmut/pdf/Dossier-presse-Matmut-SPDV-2013.pdf


jeudi 8 août 2013

BERLIN : LA" BOROS FOUNDATION"

Le bunker nazi d'Albert Speer 


devient 

la Fondation Boros d'art contemporain

On y lit toutes les époques, de la RDA pro-Cuba aux années « sexe et drogue » après la chute du Mur.
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Premier choc, le Reichsbunker Friedrichstrasse construit en 1942 par Albert Speer, architecte en chef du parti nazi, est au cœur du vieux Berlin, pas isolé sur un quelconque no man's land. Censé abriter 2 000 civils pendant la guerre, il en a entassé jusqu'à 5 000. Deuxième choc, au sommet de cette architecture hybride, mélange de géant armé et de classicisme palladien avec façade haute et meurtrières déguisées en fenêtres, on aperçoit, en retrait, un loft ultramoderne.
C'est la résidence privée (avec piscine creusée dans l'énorme dalle de béton armé) de Christian Boros, 44 ans, homme d'affaires de Wuperthal, qui a racheté le bunker en 2003 et a transformé cet endroit hanté, sale et insalubre, en fondation contemporaine nickel-chrome.

Des travaux titanesques

Silence ! Pas de réseau pour les portables dans le bunker lyophilisé. Les visites se font en rang, à l'heure et sur rendez-vous, avec guides bilingues, voire trilingues comme Clément, 20 ans, futur étudiant en sciences politiques. Elles commencent par l'histoire insensée du lieu. L'armée soviétique « libératrice » l'a transformé en prison en 1945. En 1957, la RDA communiste profite de cet espace à température constante (10° à 15°) pour y stocker les régimes de bananes que lui envoie son ami Cuba. On l'appelle alors le « Bunker Banane », ou le « Bunker de l'Avent », les bananes étant synonymes de Noël.
Devenu propriété de la République fédérale d'Allemagne en 1990, après la réunification, ce bunker arrogant se transforme, en 1992 une boîte de nuit techno, lieu branché où la drogue circule allégrement, où des chambres noires sont aménagées pour les pratiques sado-masochistes et les fous de « donjon », comme en attestent les traces de peinture laissées à « titre historique ». En 1995, la ville de Berlin interdit au public ce lieu underground, QG couru par la vague libertaire, mais sans système de ventilation, ni issue de secours ni eau courante.
Après cinq ans d'hibernation, les cinq ans de travaux ont été titanesques, vu l'épaisseur du béton et l'impossibilité de faire entrer une grue dans le bunker. Le résultat est édifiant. Toute la vision New Age de la star dano-islandaise de l'art, Olafur Eliasson, peut se redéployer dans les espaces agrandis, blanchis, immaculés. La collection Boros, qui s'est ouverte au public en juin avec l'exposition « Lumière et espace », changera d'accrochage tous les deux ans. Déjà, un must berlinois.
 

EXTRAIT DU FIGARO du 16/01/2009
Plus d'infos sur le site : www.sammlung-boros.de


Le Must  effectivement ! incontournable lors de votre visite berlinoise !
Attention, réservation impérative !! ... même avec une semaine à Berlin, mois de juillet, les réservations étaient saturées  ... et il m'a fallu faire des yeux doux pour intégrer la visite d'un groupe et pouvoir enfin admirer Eliassson dans toute sa splendeur !

 

vendredi 9 novembre 2012

LA MAISON ROUGE

 retour à l’intime, la collection                 Giuliana et Tommaso Setari

20 octobre - 13 janvier 2013
 " La maison rouge poursuit son cycle d’expositions de collections privées et présente à partir du 20 octobre, la collection Giuliana et Tommaso Setari.
La collection de ce couple italien s’est constituée en écho à leurs divers lieux de résidence durant leur vie nomade : New York, Milan, Rome, Capri, Bruxelles et enfin Paris, où ils se sont installés en 2001. Au cours de ces étapes successives de leur vie, la cohabitation avec les œuvres dans leur espace domestique et les liens avec les artistes sont devenus primordiaux dans leur existence.
Tout en étant internationale, la collection Setari se concentre sur des artistes européens et italiens : Sol Lewitt, Thierry de Cordier, Gerhard Richter, Franz West, Carla Accardi, Luciano Fabro, Michelangelo Pistoletto, Ettore Spalletti …Les artistes confirmés côtoient de plus jeunes générations, Grazia Toderi, Elisabetta Benassi, Bruna Esposito, Fabien Verschaere.
Parallèlement, Giuliana Setari-Carusi a créé en 2001, une fondation privée à but non lucratif, la Dena Foundation for Contemporary Art, qui se consacre à la promotion et la diffusion de la jeune création artistique. La maison rouge donne carte blanche à la DENA foundation dans un autre espace, pour présenter la jeune scène italienne à travers le prisme d’une sélection de revues et d’associations d’artistes indépendantes, si essentielles dans l’animation de la scène artistique contemporaine de la péninsule délaissée ces dernières années par les institutions publiques. "
extrait du dossier de presse.
Voir site :
 http://www.lamaisonrouge.org/spip.php?article884&date=cours

Vous pouvez aussi sur Dailymotion, découvrir "La collection Setari, retour à l'intime". DOCUMENTAIRE...  entrez dans les coulisses !!

http://www.dailymotion.com/video/xufbhk_la-collection-setari-retour-a-l-intime-documentaire_creation?start=3

belle promenade....  à coupler avec une pause, au "restaurant" "Rose Bakery culture"

 Très bel espace qui jouxte le patio de la fondation, et qui en cette saison a été "donné" au
 décorateur- scénographe Emilie Bonaventure pour une mise en scène particulière.
Je vous l'avoue... avec Dorothée nous avons bien passé 10 mns à tourner autour de notre table pour savoir comment s'y installer... cela paraissait rigide et non ergonomique...  mais en fait,  c'est très interactif !! ... et ludique.. on choisi "son" installation...
 Le plaisir est redoublé quand les assiettes arrivent : de la légèreté, de la couleur, de la fraicheur...  on vous invite à en faire de même... une halte au Rose Bakery... d'autant plus que ces  décors éphémères, conçu par "be-attitude" sont renouvelés trois fois par an.
" A chaque saison, ses décors, réalisés avec des prototypes, des créations spécifiques, des éditons en série limitée, des objets chinés et réinventés… seront d’étonnantes surprises, en résonance ou non avec les expositions de la fondation. "
 
nouveau décor !
Réserve
du 20 octobre au 13 janvier 2013
P.S : j'irai flâner maintenant  rue des Martyrs (9è) et rue Debelleyme (3è),  car je viens d'apprendre que les " créateurs"  Rose et Jean-Charles Carrarini ont aussi deux autres espaces dans Paris !

Ah les beaux et  petits plaisirs de Paris !!